Squarcini

Merah, DCRI, djihad terroriste et présidentielle : le grand doute.

A la vue du dénouement de l’affaire Merah, je me suis questionné ...
Sarkozy qui insistait fortement dans les medias pour "le capturer vivant" ; cette fausse piste, lancée très vite, vers l’extrême droite, et réfutée aussi vite, dès le lendemain matin. Tout ça "sentait mauvais". Trop simple, trop facile : simple de faire croire qu’on suspecte ailleurs ; facile de faire croire qu’on s’était trompé. Facile et simple aussi de le tuer, car c’était un "forcené", et que donc "ce fut la seule façon d’intervenir"...
Oui, le fait que cet homme était plus que connu de la DCRI est surprenant, si on considère le temps que cette dernière a mis avant de "penser" à lui.
Oui, la familiarité, voire complicité entre ce "fou furieux, islamiste, terroriste, djihadiste" et un certain interlocuteur (agent de la DCRI) est pour le moins louche...

Deux articles de synthèse, très intéressants, à découvrir...